Impressions de lectrice de Chanson douce, de Leila Slimani ; Gallimard
004513445

Je commence ma lecture et je suis surprise et un peu déçue de connaître le dénouement de l’histoire dès le début du livre.
En fait, l’auteur nous dévoile le crime pour mieux nous sensibiliser au déroulé du drame qui survient dans cette famille.
Une famille classique avec le père pris dans sa passion artistique, la mère qui après deux grossesses souhaite reprendre son métier d’avocat.
Pour cela,  il faut une Nounou, LA nounou qui saura s’occuper de leurs deux chérubins.
Cette dépendance à LA nounou, qui va crescendo au fil de l’histoire, permet d’ assouvir une réussite sociale, d’avoir une qualité de vie, de se faire aussi chouchouter dans ce rythme effréné de la vie sociale.
Les signes précurseurs sont inconsciemment balayés.
J’ai dû ralentir ma lecture pour prendre un peu de distance avec ce récit.

                                                                                                                                    Yvonne Giorico


En savoir plus sur Musanostra

Abonnez-vous pour recevoir les derniers articles par e-mail.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

En savoir plus sur Musanostra

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading