par Marianne Laliman 

In Manu à u diavule, le nouvel ouvrage de Jean-Yves Acquaviva est paru chez Colonna édition.
Après la poésie (Tandu Scrivu) et le roman (Ombre di guerra et Cent’anni centu mesi)
c’est un recueil de nouvelles qu’il nous propose, dans un livre bilingue avec une contribution de Bernadette Micheli pour la traduction en français.

Tarrori è fantasia


Les habitués des lieux de création littéraires sur internet y retrouveront avec plaisir l’esprit de certains blogs, tels que Tarrori è fantasia ou Tonu è Timpesta, qui laissent une grande place à un imaginaire décloisonnant et explorant en tous sens, de la complexité de l’âme humaine à la fascination devant les mécanismes du mal, le tout volontiers agrémenté d’une touche de surnaturel. Même ressenti, mêmes impressions donc à la lecture des nouvelles de Jean-Yves Acquaviva, en suivant les étranges enquêtes d’un inspecteur londonien comme en découvrant les confessions d’un assassin.
De l’Angleterre à la Corse, de l’esprit du psychopathe à la confrontation avec les démons, les cinq textes du recueil nous font entrer dans des dimensions diverses mais toujours au sein d’un univers marqué par la main du diable.

A lire aussi : Dans le flot des rivières de Jean-Yves Acquaviva

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