par Francis Beretti « Le linge blanc humecté d’eau vinaigrée glisse sur la peau aussi tendue que celle d’un tambour. Il ascensionne le ventre montueux, dévale la pente vers la combe ombreuse entre les seins, caresse le cou de taureau, glace d’une mince pellicule les bras énormes, revient sur le bas-ventre et parcourt les cuisses …
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