par Jacques Fusina Lorsque j’enseignais la littérature à mes élèves parisiens de «terminale » je me souviens du plaisir qu’ils prenaient à entendre et lire ces magnifiques pages de Pantagruel ou Gargantua du bienheureux Rabelais : quelle puissance évocatrice, quelle force expressive, quelle liberté de ton, quelle inventivité lexicale, quelle fantaisie, quels écarts de langage, quels accès …
