Café littéraire Musanostra 
Avec la participation exceptionnelle de l’écrivain 

Sylvain Prudhomme
Prix Femina 2019 , Prix Frontières 2024…)
Venez présenter votre coup de cœur (livre ancien ou récent) 
 5 mars –  18h30 au Met Café, 11 rue Cesar Campinchi


Possibilité de diner sur place après le café littéraire 
Réservations au 0494440472 ou 0610931511

Lors de notre dernier café littéraire, nous avons eu le plaisir de présenter le dernier ouvrage de Sylvain Prudhomme. Parmi leurs découvertes récentes ou leurs ouvrages favoris, les lecteurs ont présenté :

Sylvain Prudhomme, L’Enfant dans le taxi aux @editions de minuit
Yûsuke Kishi, La Maison noire, Paris, @editions belfond
Arnaldur Indridason, Les Parias, Paris, @editions metailie
Ne réveille pas les enfants Ariane Chemin, Paris, @ed_sous_sol
Jean-Baptiste Croce, Intimes Confessions, Bastia, Musanostra edizione
Ann.scott, Les Insolents, Paris
Ghjuvan Ghjaseppu Franchi, Mythologies d’une langue, Ajaccio, @editions_albiana
Agnes Clancier, dans le rêve de l’arbre creux, Paris, @editions du sonneur
Sandrine Lucchini, Charlotte chérie, Paris, @hachette romans
La Double Vie de Dina Miller, Paris, @editions albin michel
Nicolas Mathieu, Le Ciel ouvert Arles, @actes sud
Ann.scott, Les Insolents, Paris, @calmann.levy
Philippe Besson, Un soir d’été, edts Julliard
Suzanne, de Denis Belloc Du-Chemin-De-Fer-Eds
donatien leroy, Sisyphe, Paris Inculte

clementine.haenel, Soleil coupé, Paris, @zonecritique,

Dominique Pietri, qui a déjà co-écrit avec Jean-Pierre Castellani 21 femmes qui font la Corse, vient de publier Juste une île, aux éditions Scudo.

Joël Bastard, poète et auteur dramatique, vient de publier un roman particulièrement original, intitulé Filumena, aux éditions Belfond.

C’est une sorte de « courant de conscience » ( a stream of consciousness) d’une vieille dame, Filumena, qui a du mal à se déplacer, mais dont les pensées vives et  chaotiques ne manquent pas de piquant.

Comme on le lit dans le service de presse, Filumena est « Une voix, un sens de la formule, de l’euphémisme. Une époque passée au crible d’une vie minuscule » 

Deux hommes regardent Filumena qui retourne chez elle. Elle n’est plus à Marseille, à Versailles ou à Bastia, mais au village, à midi, du temps ou elle allait chercher l’eau à la fontaine, seule avec ses rêves.  Filumena, qui déambule  à travers ses souvenirs, c’est l’image de la femme corse qui s’éloigne sans cesse vers un monde invisible et révolu .  


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