Le 31 juillet, place de Cassano à 16h30, l’écrivain François-Henri Désérable animera une table-ronde consacrée à l’actualité littéraire entre Mélanie Davoust, Salomé Baudino et Ariane Chemin. Il publiera à la rentrée Mon Maître et mon vainqueur, aux éditions Gallimard.

Présentation de François-Henri Désérable

Né en 1987, à Amiens, il effectue une partie de son lycée dans le Minnesota, aux États-Unis. Puis, il revient à Amiens, au lycée La Providence. À 18 ans, il devient joueur de Hockey professionnel (il le sera pendant dix ans). Il entre en faculté de droit, avant de se consacrer entièrement à la littérature.

Après la publication d’une nouvelle très remarquée sur la mort de Dante, il publie son premier roman en avril 2013, Tu montreras ma tête au peuple, aux éditions Gallimard, récit des derniers instants des grandes figures de la Révolution. Ce premier roman remportera trois prix littéraires. Le prix Amic de l’Académie française, le prix littéraire de la Vocation, et le prix Jean d’Heurs du roman historique.

En 2015, lauréat de la bourse « Écrivain » de la fondation Lagardère, il publie Évariste, une biographie romancée d’Évariste Galois, mathématicien prodige mort à vingt ans lors d’un duel.

Ce roman est la révélation de l’année 2015. Il est sélectionné pour plusieurs prix. Il remportera finalement le prix des Lecteurs de L’Express-BFMTV et le prix de la biographie.

Son troisième livre, Un certain Mr Piekielny, paraît en 2017. Il est en lice pour le prix Goncourt et le prix Renaudot, ainsi que pour les six grands prix de la rentrée littéraire.

Un certain Mr Piekielny est une enquête littéraire sur un personnage évoqué par Romain Gary dans La promesse de l’aube. Il part à la recherche de ce petit homme juif, qui ressemble selon Gary, à « une souris triste ».À la rentrée, François-Henri Désérable publiera Mon maître et mon vainqueur, qu’il viendra nous présenter durant les Statinate du 20 au 22 août.

Présentation de Mon Maître et mon vainqueur, publié aux éditions Gallimard

« Le cahier, c’était la première chose que m’avait montrée le juge, quand tout à l’heure j’étais entré dans son bureau. Sous la couverture souple et transparente, on pouvait lire au feutre noir : MON MAÎTRE ET MON VAINQUEUR.


Sur les pages suivantes, il y avait des poèmes. Voilà ce qu’on avait retrouvé sur Vasco : le revolver, un cahier noirci d’une vingtaine de poèmes et, plus tard, après expertise balistique, des résidus de poudre sur ses mains.
Voilà ce qu’il en restait, j’ai pensé, de son histoire d’amour. »


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