La littérature joue-t-elle toujours un rôle dans l’action politique ? Le député de l’Eure Bruno Questel, membre du prix du livre politique de l’Assemblée Nationale, répond à nos questions.

D’Alphonse de Lamartine, poète se rêvant président, à Georges Pompidou, président amoureux de poésie, en passant par le Général de Gaulle, et son goût aristocratique pour les Mémoires, la France est un pays gouverné par la littérature.

Quand la littérature inspire la loi

Pas d’abolition de la peine de mort sans Le Dernier jour d’un condamné ; de prise en compte de la misère ouvrière sans Zola ; de combat pour l’égalité des droits entre homme et femme sans les ouvrages de Simone de Beauvoir. La littérature inspire la politique. Elle incite à l’engagement, et à l’action.

À écouter aussi : Littérature et censure avec l’avocat Emmanuel Pierrat

Sans le panache et la générosité d’un Cyrano, sans les ambitieux de Stendhal et de Balzac, la politique et l’histoire française seraient sans doute moins romanesques.

La vie politique française est-elle toujours romanesque ?

C’est ce romanesque que nous souhaitions évoquer avec notre invité, le député de l’Eure Bruno Questel, membre du prix du  jury de l’Assemblée nationale : la vie politique française est-elle toujours aussi romanesque ? La littérature joue-t-elle encore un rôle dans la prise de décision politique ?


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